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A quoi ressemblera Internet en 2020 ?

data De plus en plus de personnes utiliseront internet. Aujourd’hui, selon l’Internet World Stats, leur nombre s’élève à 1,7 milliard, à comparer à la population mondiale de 6,7 milliards. La National Science Foundation (NSF) estime qu’en 2020, la planète comptera 5 milliards d’internautes. Ce changement d’échelle posera forcément des problèmes techniques, quelle que soit l’architecture du futur pour le web.

Internet sera de plus en plus dispersé géographiquement car l’essentiel de sa croissance proviendra, durant les 10 prochaines années, des pays en voie de développement. Aujourd’hui, selon l’Internet World Stats, les régions dont le taux de pénétration est le plus bas sont l’Afrique (7%), l’Asie (19%) et le Moyen-Orient (28%), contre 74 % pour l’Amérique du Nord. Le rééquilibrage auquel on va assister se traduira par une présence accrue des jeux de caractères non-ASCII.

Aujourd’hui, internet est essentiellement un réseau reliant 575 millions d’ordinateurs. Durant les années 2010, le nombre d’appareils divers connectés va dépasser celui des ordinateurs. La NSF estime en effet que des milliards de capteurs équipant des bâtiments, ponts, systèmes de sécurité ou compteurs électriques seront reliés au réseau. En 2020, les objets connectés

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des tunnels Ethernet qui interconnectent des CLOUDS

cloud-computingOn connait le routage IP sur réseau Ethernet mais pas encore le routage IP de trames Ethernet – c’est Cisco qui sort ce protocole pour interconnecter les centres informatiques dispersés pour les services de Cloud Computing en utilisant une couche OVT

Les entreprises auront recours à des services de Cloud Computing hébergés dans des centres informatiques dispersés. Cisco propose une optimisation de leur interconnexion par un protocole propriétaire, également adapté au maniement des serveurs virtuels de son partenaire VMWare.

Le numéro un mondial des routeurs, Cisco annonce des solutions destinées à faciliter l’interconnexion des centres de calculs distants et optimiser les ressources dans le cadre d’une stratégie de Cloud Computing et de virtualisation de serveurs…
Le Nexus 7000 est doté d’un système d’exploitation baptisé Overlay Transport Virtualization (OTV) qui facilite l’interconnexion entre des salles dispersées géographiquement, en optimisant le routage des adresses Ethernet MAC.

Ce protocole OTV encapsule et crée des tunnels Ethernet par un routage de niveau 3, réunissant ainsi les différentes salles informatiques dispersées au sein d’une seule entité logique. Les administrateurs réseaux peuvent alors gérer les charges de travail des différents centres de calcul sans avoir à redéfinir ni reconfigurer leurs réseaux. Cet élément trouve toute son importance dans la mise en place de solution de virtualisation, telles que VMotion de VMware pour répartir les charges de travail entre des centres de calculs éloignés.
Si d’autres solutions d’interconnexion existent, comme la technologie Pseudowire, dans le cas d’un réseau MPLS ou de fibre optique, OTV peut alors être utilisé comme facilitateur ou accélérateur de ces interconnexions.

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Casser PGP sur Amazon Web Services

 

securite Pour les hackers aussi, le cloud computing ouvre de nouvelles perspectives intéressantes, comme le montre le cabinet de conseil en sécurité Electric Alchemy. A la demande d’un client, cette société américaine a voulu trouver le mot de passe d’un fichier ZIP chiffré en PGP (Pretty Good Privacy). Elle a donc installé, sur un PC Windows 7 à double cœur, le logiciel Distributed Password Recovery de l’éditeur russe Elcomsoft, qui permet de trouver des mots de passe par attaque en force brute (c’est-à-dire en testant toutes les combinaisons possibles).

D’abord, ce fût la déception : le logiciel a indiqué un délai de 2 100 jours pour casser le chiffrement, soit plus de cinq ans. Electric Alchemy a donc commencé à déployer des instances Elcomsoft sur Amazon Web Services. Avec une dizaine de machines virtuelles en option high CPU, le délai s’est retrouvé ainsi réduit à 122 jours. Avec un tarif horaire de 30 cents par instance virtuelle, le coût total de l’attaque est, dans ce cas, de 8 784 dollars.

Dix millions de dollars pour casser 10 caractères

Mais pas de panique, il ne s’agit là que d’un exemple. Cette attaque s’est révélée relativement peu onéreuse car le mot de passe en question était simple. Le cabinet a réitéré toute une série d’attaques par force brute sur différents types de mot de passe. Conclusion : même en utilisant Amazon Web Services, il faudrait dépenser 10 millions de dollars pour casser un mot de passe d’une longueur de 10 caractères ASCII.

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