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Ce qui fait qu’une ville devient une victime de la cybercriminalité

piratage Une étude réalisée par le fournisseur de sécurité Symantec permet d’identifier les villes ciblées par la cybercriminalité. L’étude a été réalisée aux Etats Unis mais trouve toute son application dans l’Hexagone.

S’appuyant sur des critères qui tiennent compte du nombre d’ordinateurs par habitant et de la taille de la population, une étude menée par Symantec et le cabinet d’études Sperling’s BestPlaces a dressé le Top 10 des villes les plus visées par la cybercriminalité.
Globalement, « les facteurs qui font qu’une ville est fière de son administration et de son mode de vie sont les mêmes qui en font une ville à risque en matière de cybercriminalité», déclare Marian Merritt, conseiller à la sécurité Internet chez Norton (filiale de Symantec). Les villes les plus risquées sont celles où les habitants possèdent de nombreux ordinateurs individuels, où la population affiche un de niveau de vie élevé, et dans laquelle un grand nombre de personnes font des achats en ligne, consultent les services bancaires via Internet, consomment de la bande passante et disposent de nombreux hot spots Wifi. Ce mode de vie s’accorde typiquement avec des niveaux élevés d’infection par les logiciels malveillants, le phishing et autres types de cyber-attaque.

Quelques risques qui ont valu aux villes de figurer au Top 10
– Atlanta et Miami reçoivent plus de spams que Boston.

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Le CPL pour l’Internet social

cpl Le CPL (Courant Porteur en Ligne) est utilisé parfois (quand le WIFI ne passe pas bien et que tirer un cable n’est pas esthétique) pour transporté Internet dans nos maisons (certains FAI l’intègrent d’ailleurs en standard avec leur box) – on parle dans ce cas du CPL indoor avec des débits théoriques de 14 & 85Mb/s (HormePlug 1.0) et 200Mb/s (HomePlug AV).

Ici, il s’agit plutôt du CPL outdoor (donc en dehors de nos maisons) dont les signaux transitent par les lignes MT/BT (Moyenne Tension, Basse Tension). On parle ici de "L’Internet social", car celui ci permet de réduire la fracture numérique (comme dirait une ancienne personnalité) en apportant une accès Internet "haut débit" (on ne dépasse pas les 2Mbit/s et l’abonnement le moins cher tourne autour de 512Kb/s à 1Mbit/s) à petit prix (de 5€ à 10€ /mois) en incluant parfois la téléphonie illimitée. Le CPL, ne nécessitant pas d’installation téléphonique et donc un investissement moindre, a donc été choisi pour permettre ce genre de tarification basse. Les quartiers de populations à faible revenue en seront les bénéficiaires dans certaines villes (comme c’est déjà le cas pour Dunkerque, Angers, Nantes…).

Un accès à 1 Mbit/s et la téléphonie illimitée pour 10 euros

Avec le CPL, les débits promis dépassent rarement les 2 Mbit/s. Autant dire qu’il n’y aura pas de télévision par Internet, mais la téléphonie reste possible. C’est Dunkerque qui a été la pionnière avec le projet Domitil lancé en décembre 2006. Le réseau a été déployé là aussi par Edev CPL, et le FAI Territoires Sans Fil (TSF), spécialisé dans les offres à bas prix, propose trois forfaits depuis mars 2007 : 5 euros par mois pour 512 kbit/s, 8 euros pour 1 Mbit/s et 10 euros pour 1 Mbit/s et la téléphonie illimitée.

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