Alcatel bat le record de vitesse des transmissions optiques

Merci à Benoit Minvielle, société Hirschmann pour la suggestion de cette actualité…

foLes chercheurs d’Alcatel sont parvenus à battre le record de transmission de données par réseau optique. Le débit atteint serait dix fois supérieur à celui qu’on connaît aujourd’hui sur les câbles sous-marins commerciaux.

Les équipes de Bell Labs, localisées à Villarceaux (91), affirment avoir atteint les 100 petabits (100 millions de gigabits) par seconde.kilomètre, une unité de mesure standard en transmission optique à haute vitesse. Ce chiffre a été calculé en prenant en compte à la fois la vitesse de transmission et la capacité du réseau à la maintenir sur une longue distance. Ici 7 000 kilomètres.

« Cette expérience de transmission comprenait notamment l’envoi de l’équivalent de 400 DVD par seconde entre Paris et Chicago », explique Alcatel dans un communiqué.

Quelque 155 lasers fonctionnant chacun sur une fréquence différente, et transportant 100 gigabits de données par seconde, ont été utilisés pour réaliser cette opération.

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ISA 100.11a ratifié par l’ISA

isa100 Situé entre le Bluetooth, le ZigBee, le WirelessHART, ce protocole est un nouveau moyen d’accès sans-fil nativement orienté pour les réseaux industriels.

Ce standard défini la suite de protocole, le système d’administration, les passerelles et les spécifications de sécurité pour une communication sans fil à faible débit avec des équipements fixes, portables ou mobiles et avec une consommation électrique très limitée.

L’intérêt de ce protocole porte sur les besoins de performances des applications tel que la supervision et le “contrôle process” où une latence d’environ 100ms est tolérée avec une possibilité d’une latence plus courte optionnellement.

Le comité ISA100 vient d’approuver par le vote le standard sans fil ISA 100.11a intitulé « Wireless Systems for Industrial Automation: Process Control and Related Applications ». C’est à présent un standard officiel de l’ISA.
L’ISA 100.11a va être soumis  à l’ANSI (American National Standards Institute). Il sera également soumis à l’IEC (International Electrotechnical Commission) pour essayer de se positionner à l’échelle d’un standard internationa

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l’IEEE approuve le standard 10G-EPON

10G-EPON L’organisme de normalisation IEEE a approuvé un amendement au standard Ethernet 802.3 qui étend son champ d’application aux réseaux de distribution optiques passifs point-à-multipoint à 10 Gbit/s.
Référencée IEEE 802.3av et connue aussi sous le label 10G-EPON, la nouvelle spécification vient s’ajouter à l’actuel standard Ethernet 1G-EPON qui dessert d’ores et déjà 30 millions d’utilisateurs de par le monde.
Rappelons que les réseaux d’accès en fibre optique PON (Passive Optical Networks) sont des solutions point-à-multipoint où les équipements intermédiaires, des coupleurs optiques passifs situés entre le central de l’opérateur et l’abonné, ne nécessitent pas d’alimentation électrique. Tout en permettant une réduction des coûts des équipements, des coûts opérationnels et des coûts de maintenance, le passage au 10 Gbit/s doit répondre aux besoins en bande passante pour la diffusion de programmes TVHD, les réseaux résidentiels Gigabit, les services VDSL2, l’agrégation de trafics issus de réseaux mobiles 4G, etc

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Wi-Fi Alliance et l’IEEE certifie enfin la norme 802.11n

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Après plusieurs années d’attente, la Wi-Fi Alliance et l’IEEE certifient définitivement la norme 802.11n. Les déploiements de réseaux Wi-Fi en 802.11n version provisoire de la norme (draft 2.0) commençaient à devenir de plus en plus nombreux et de plus en plus ambitieux. Beaucoup d’entreprises ont du s’orienter vers cette version provisoire du 802.11n pour répondre aux besoins grandissants de bande passante de leurs applications mobiles. […]

802.11n – un virage dans l’histoire de réseau Wi-Fi ?

Le 802.11n est la norme haut débit. Cette norme repousse les limites en matière de performances de ses prédécesseurs, 802.11bg et 802.11a limités à 54 Mbit/s chacun. Le Wi-Fi 802.11n utilise uniquement les plages de fréquences définies par l’ARCEP à savoir 2.4 GHz et 5 GHz. Ainsi, une borne Wi-Fi 802.11n fonctionnant sur ces deux plages de fréquences offre une bande passante potentielle double c’est-à-dire 2 X 300 Mbit/s. Les améliorations apportées par le 802.11n ne se limitent pas au débit. La couverture radio est également plus soutenue grâce à une technique assurant une meilleure propagation du signal. (Cf. spécification technique du protocole 802.11n)

Avec de telles performances, les ambitions d’entreprises de faire disparaitre les fils dans des immeubles entiers peuvent se concrétiser. Mais n’oublions pas deux points cruciaux. Le premier est que pour profiter pleinement de ces nouvelles performances, les postes mobiles doivent supporter la norme 802.11n (ou la 802.11n draft 2.0). Le second, le Wi-Fi prend toute sa valeur dans le cadre d’une alternative aux technologies filaires lorsque celles-ci sont mal adaptées, typiquement dans le cas d’applications mobiles.

Comprendre la nouvelle nomenclature 802.11n

Le 802.11n peut fonctionner sur la plage des 2.4 GHz et sur la plage des 5 GHz. Selon les modèles de bornes Wi-Fi, certaines proposent le 802.11n sur une plage ou sur deux plages simultanées. Il faut être vigilant dans le décodage des références car bien évidement, il y a un impact financier sur le coût de la borne. De plus, une autre caractéristique technique vient compliquer la compréhension. Elle apparait sous le terme « 3X3 ». Cet exemple signifie 3 antennes en émission et 3 antennes en réception. Ces caractéristiques influent fortement sur les performances de la borne.

Compatibilité avec les normes 802.11a et 80211bg ?

Une borne Wi-Fi proposant le 802.11n sur la plage des 2.4 GHz assure la compatibilité avec le protocole 802.11bg. Une borne Wi-Fi proposant le 802.11n sur la plage des 5 GHz assure la compatibilité avec le protocole 802.11a. Attention, cela peut dégrader les performances des bornes. Chaque fabriquant a sa stratégie en la matière.

La norme 802.11n est-elle compatible avec sa version provisoire (802.11n draft 2.0) ?

Vous avez déployé des réseaux Wi-Fi en 802.11n draft 2.0. Vous avez des terminaux supportant le 802.11n draft 2.0. La Wi-Fi Alliance assure que le 802.11n draft 2.0 est compatible avec le 802.11n.

Quels sont les pièges à éviter ?

Le premier concerne l’alimentation électrique des bornes 802.11n et plus particulièrement l’alimentation par le bais du câble réseau. Jusqu’à présent, les injecteurs de courant alimentant les bornes Wi-Fi par le réseau répondait à la norme 802.3af qui garant une puissance optimale au fonctionnement de la borne. La puissance fournie par ces équipements peut se révéler insuffisante pour l’alimentation de certaines bornes 802.11n. Une nouvelle norme est en préparation : le 802.3at [PoE+ – Power over Ethernet à 60W].

Le second piège concerne la charge du trafic induite dans les réseaux locaux par les bornes 802.11n. Il ne faut jamais perdre de vue que connecter une borne 802.11n à un réseau local revient à injecter dans ce dernier une consommation de bande passante potentielle pouvant aller jusqu’à 600 Mbit/s [Typiquement : environ 200 Mb/s effectif]. Donc avant de déployer de façon massive des bornes 802.11n, il est important d’étudier cet impact sur vos réseaux locaux pour éviter de forts désagréments.

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Correctif chez Cisco pour protéger ses routeurs contre des attaques DOS

cisco Cisco a proposé cette semaine un patch afin de mettre à jour ses routeurs et ses commutateurs contre des attaques par Déni de Service (DOS ou Denial Of Service).
La faille permet aux hackers de manipuler l’état des connexions TCP, selon Cisco. Conséquence, la connexion TCP peut rester active longtemps, voire indéfiniment. En conservant suffisamment de connexions TCP actives, cela consomme des ressources sur la machine, empêchant d’ouvrir de nouvelles connexions TCP, aboutissant à un début de DOS.
Le bug avait été découvert il y a un an, par un fournisseur de sécurité suédois. Les produits concernés sont :
– les routeurs et les commutateurs fonctionnant sous IOS, IOS-XE, et CatOS,
– les appliances ASA et Cisco Pix dans leurs versions 7.0, 7.1, 7.2, 8.0 et 8.1,
– certaines configurations de produits sous NX-OS tels que les commutateurs Nexus 5000 et 7000,
– les produits de Scientific Atlanta (modem câbles) et Linksys (produits pour la maison et les PME).

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Nouvelle étape pour la future norme 802.3az : Energy-Efficient Ethernet

green-ethernet-EEEAprès la mesure de la longueur de ligne pour adapter l’énergie en fonction de celle ci et la coupure des ports non utilisés, la future norme 802.3az permettrait d’adapter la vitesse de la ligne automatiquement en fonction du débit réel – celle ci passerait donc automatiquement entre 10, 100 et 1000 Mb/s selon les besoins.

Le développement de l’Ethernet "vert", ou plus prosaïquement de la spécification Energy-Efficient Ethernet (EEE), a franchi une étape cruciale durant l’été. Le comité IEEE 802.3 a accepté de soumettre au vote du "Working Group Ballot" le projet de la future norme 802.3az, une décision qui, selon l’IEEE, préfigure son approbation finale d’ici à septembre 2010. Sachant qu’un réseau à 1 Gbit/s consomme moins que son homologue à 10 Gbit/s, le groupe de travail EEE travaille depuis l’automne 2007 sur des technologies destinées à faire chuter la consommation énergétique des réseaux Ethernet et, notamment, sur des mécanismes qui permettent de modifier dynamiquement la vitesse de transmission d’un réseau en fonction du trafic véhiculé. Chose impossible dans l’état actuel de la technologie. Une fois la phase de négociation entre deux points d’émission/réception achevée et le débit de transmission commun fixé, celui-ci ne peut plus être modifié… à moins d’interrompre la liaison. Le futur standard 802.3az sera applicable aux transmissions Ethernet sur câbles de cuivre en paires torsadées, ainsi que sur les fonds de panier des équipements en châssis.

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