De formation Ingenieur réseaux & télécom (EISTI), j'ai exercé en tant que responsable technique avant et apr?s vente au sein de la filiale fran?aise d'un constructeur de mat?riels r?seaux dans le domaine industriel. en parall?le, j'?tais le responsable informatique de cette structure
Puis je suis pass? c?t? client chez un int?grateur de solutions temps r?el dans la Gestion Technique de B?timent (GTB) ou Centralis?e (GTC) et j'ai mis en place des r?seaux informatiques de la taille d'un b?timent ? celui d'une ville.
enfin, j'ai cr?? ma structure et dans ce cadre continue de travailler dans le domaine des r?seaux o? je forme des interlocuteurs sur les r?seaux Ethernet - avec en particulier le domaine industriel.
Quand mes formations me laissent du temps, je concois en parall?le des sites Internet dynamiques et interfaces de pilotatage de luminaires pour b?timents me faisant exploiter les diff?rentes facettes de mes exp?riences.
Le protocole Ethernet pour automatisme met à disposition la couche logiciel en licence libre pour dialoguer en EPL (Ethernt PowerLink). Ceci permet ainsi aux fabricants d’équipements réseaux et de machines d’incorporer du code EPL open source sans tout re-développer. Le code source a été développé par la société allemande Sys Tec Electronic GmbH.
Pour rappel, Powerlink est un protocole automatisme qui peut faire du temps réel. Il utilise une structure Maitre/Esclave (donc basé sur les unicasts) en anneau. il utilise un mode protégé avec hubs 100BaseTX sans collision (donc propriétaire) ou en utilisant des commutateurs PTP et nécessitant une passerelle PowerLink pour une ouverture vers des réseaux TCP/IP standards.
Cette vidéo vous explique comment s’échangent les paquets IP dans les réseaux et Internet ainsi que le rôle du routeur et du firewall. Bonne découverte de cette sympathique vidéo traduite par un magazine informatique canadien.
A l’occasion du WiMax Forum Global Congress qui s’est déroulé du 17 au 18 juin à Amsterdam, l’opérateur néerlandais WorldMax vient de présenter la première version de la technologie WiMax mobile d’Europe. Oui, le premier Hotspot WiMax européen est ouvert ! Le réseau élaboré par l’équipementier Alcatel-Lucent, devrait être opérationnel dans la ville et opéré de manière commerciale d’ici la fin de l’été.
Basé sur la norme WiMax mobile 802.16e, le service WorldMax diffère des réseaux précédents conçus comme des substituts sans fil des réseaux haut débit fixes traditionnels. Il est destiné à couvrir les besoins des utilisateurs en intérieur comme en extérieur, en offrant un accès haut débit sans fil aux utilisateurs d’ordinateurs portables, de smartphones et de PDA.
Une récente étude (*) de Network Instruments a mis en lumière les difficultés croissantes auxquelles sont confrontés les administrateurs réseaux. La résolution des problèmes applicatifs serait l’activité la plus gourmande en temps pour les professionnels de réseau. Selon ce fournisseur de solutions d’analyse de trafic, plus de 70 % des professionnels consacrent vingt-cinq jours par an à tenter d’isoler la source des problèmes de performances entre le réseau et les applications !
C’est aussi, du reste, la principale pré-occupation des stagiaires (opérateurs et entreprises clientes) de Learneo, qui propose des cours sur le sujet en recréant l’environnement client. « Avec ce socle de convergence, il est difficile de déterminer aujourd’hui ce qui ne fonctionne pas , explique Xavier Jacopy. Nous provoquons des incidents et donnons aux intéressés la méthodologie pour dépanner ou décider qui sera à même de résoudre le problème. »
(*) Etude State of the Network, réalisée en janvier et février 2008 auprès de 600 DSI, ingénieurs réseaux et responsables informatiques dans le monde.
Les attaques informatiques sont considérées par le président de la république comme critiques, au même niveau que les menaces terroristes, nucléaires et biologiques.
Les cyber-attaques telles qu’identifiées dans le Livre blanc peuvent provenir de divers types d’acteurs : hackers, groupes terroristes, Etats…. Elles peuvent utiliser diverses armes : virus, ‘chevaux de Troie’, blocages malveillants… Et viser plusieurs objectifs : terrorisme, espionnage militaire ou économique…. Le document pointe l’importance de la défense cybernétique et de la guerre de l’information dans un univers d’informatique quantique et le développement des nouveaux systèmes de renseignements satellitaires.
Données métier, bureautique, messagerie, navigation internet, téléphonie sur IP : ces trafics empruntent désormais le même réseau IP. Or ils n’ont pas les mêmes contraintes. Les uns, comme le transfert de fichiers, ont besoin de beaucoup de bande passante mais ne sont pas sensibles aux temps de transfert ; d’autres, telle la voix sur IP, ont un faible débit, mais ne souffrent aucune latence ni gigue (*) . Difficile de faire cohabiter ces flux en bonne intelligence. Sur le réseau local, on s’en tire grâce à la faible latence et à la large bande passante (100 Mbit/s, voire, maintenant, le Gigabit Ethernet). Mais ces conditions ne se retrouvent pas sur le réseau étendu.
D’où la nécessite d’optimiser le trafic en privilégiant certains flux, en freinant les appétits de bande passante d’autres, en réduisant la quantité de données à transmettre, en éliminant les doublons. Le but final étant de réduire le temps de réponse des applications. Car le seul juge est l’utilisateur. Pour le satisfaire, il n’y a pas de solution miracle. Chaque entreprise, chaque réseau est un cas particulier.
Une solution de cryptage quantique sur fibre optique à la volée en lien gigabit et prochainement en 10Gbit/s pour sécuriser les liaisons fibres amenées a se développer de plus en plus.
Le principe est basé sur le mécanisme quantique qui change d’état dès qu’on l’observe – le mécanisme est utilisé pour la clé de cryptage et donc celle ci change si on cherche à l’intercepter ce qui rend le décodage impossible.
C’est une première mondiale pour un opérateur. Dès septembre, l’opérateur de fibre noire Neo Telecoms (acquis en 2014 par Zayo) va proposer des liens en fibre optique sécurisés par cryptage quantique. « On pensait que la fibre, de par sa nature, n’était pas facilement piratable. Mais on s’est rendu compte que ce n’était pas aussi simple, explique Didier Soucheyre, président de Neo Telecoms. Certes, dans un fourreau, il faut savoir quelle est la fibre [parmi les centaines contenues dans un câble, NDLR] sur laquelle il faut se brancher et ensuite retrouver l’information parmi les dizaines de gigabits de données qui transitent. Mais la fibre optique présente des risques, et la possibilité de la pirater a été démontrée. Notamment au niveau de l’entrée des immeubles, là où seuls quelques brins sont déviés. D’autant plus que le matériel de piratage tient dans une simple mallette. »
L’IOS de Cisco, pourtant propriétaire et donc "protégé", est piraté et un rootkit (virus s’implémentant dans le coeur de l’OS et donc non détectable par celui-ci) existe maintenant pour cette plateforme ouvrant ainsi la voie à de futurs pirates. (Il y avait eu une fuite d’une partie des ligne de code de IOS qui a peut être servit à développer ce rootkit).
Donc attention aux checksums des mise à jour pour s’assurer de l’intégrité de celles-ci. Enfin, tant que les serveurs web Cisco ne seront pas piratés.
Ceci conforte l’adoption récente de Free et Google à l’IPv6. Il va falloir que tous les autres s’y mettent et adaptent le matériel en conséquence. En gros renouvellement en conséquence pour l’intéropérabilité.
Fin janvier 2008, l’Iana (Internet Assigned Numbers Authority) ne di sposait plus que de 16 % du «stock» total d’adresses IPv4, soit environ 700 millions d’adresses. Un épuisement de ce stock est prédit pour 2010-2011. Une étude financée par la Commission européenne a montré l’intérêt d’IPv6 pour un certain nombre de segments de marché, notamment les réseaux domestiques, la gestion des bâtiments, les communications mobiles, les secteurs de la défense et de la sécurité et l’industrie automobile. "Une adoption rapide et efficace d’IPv6 permettrait à l’Europe d’innover et de se placer au premier plan en ce qui concerne les progrès futurs de l’Internet." Le vieux continent concentre 49% des adresses IPv6 émises. Mais, l’Asie, et le Japon en particulier, investit de plus en plus dans le domaine. Moins de la moitié des FAI européens sont prêts à proposer IPv6 et la Commission déplore l’absence quasi totale de prise en compte d’IPv6 par les fournisseurs de contenus et de services (les sites Web, la messagerie instantanée, le courrier électronique, le partage de fichiers et la VoIP).
Intel vient d’annoncer la commercialisation d’une carte réseau 10 Gbits/s qui, en plus de son débit gigantesque permettra d’utiliser ce débit sur des câbles Ethernet standard, en catégorie 6 ou 6a. Cela permettra de migrer facilement les parcs de machine vers la nouvelle norme : pas besoin de recabler toute la structure. Petit bémol, la carte devrait être capable de tenir les débits si les câbles en Cat 6 ne dépassent pas 55mètres et les 6a 100 mètres, de quoi en principe, être à l’aise. Il est évident que cette nouvelle technologie est dans un premier temps réservée aux professionnels ayant besoin d’énormes débits, car la note s’annonce salée : 999$ par carte. Disponible à la fin du mois aux États-Unis, il nous faudra sûrement attendre quelques années avant de pouvoir tâter des débits pareils…
Les réseaux Ethernet sont pour internet, ce que les canalisations sont pour l'eau. A tout problème de flux, il s'agit avant tout de trouver un bon plombier !